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Le bar à poèmes
wang wei
24 février 2025

Wang Wei / 王维 (701 – 761) : Mon refuge au pied du Chung-nan

Wang Wei / 王维 (701 – 761) : Mon refuge au pied du Chung-nan
Mon refuge au pied du Chung-nan Au milieu de l’âge, épris de la Voie, Sous le Chung-nan, j’ai choisi mon logis. Quand le désir me prend, seul je m’y rends ; Seul aussi à connaître d’ineffables vues... Marcher jusqu’au point où l’eau prend sa source, Et...
10 août 2024

Wang Wei / 王维 (701 – 761) : A Monsieur le magistrat Chang

Wang Wei / 王维 (701 – 761) : A Monsieur le magistrat Chang
A Monsieur le magistrat Chang Sur le tard, je n’aime que la quiétude. Loin de mon esprit la vanité des choses. Dénué de ressources, il me reste la joie De retourner à ma forêt ancienne. La brise des pins me dénoue la ceinture ; La lune caresse les sons...
24 février 2024

Wang Wei / 王维 (701 – 761) : Soir d’automne en montagne

 Wang Wei / 王维 (701 – 761) : Soir d’automne en montagne
Soir d’automne en montagne Pluie nouvelle dans la montagne déserte, Air du soir, empli de fraîcheur d’automne... Branches de pin s’ouvrent aux rayons de lune, Une source pure caresse les rochers blancs. Frôlant les lotus, passent les barques des pêcheurs...
24 février 2023

Wang Wei / 王维 (701 – 761) : En montagne

 Wang Wei / 王维 (701 – 761) : En montagne
En montagne Du vallon broussailleux, des rochers blancs émergent ; Epars dans le ciel froid, quelques feuillages rouges... Sur le sentier de la montagne, il n’a pas plu ; Mais l’azur de l’espace inonde mes habits. Traduit du chinois par Tch’eng Ki-hien...
24 février 2022

Wang Wei / 王维 (701 – 761) : Le parc aux magnolias

Wang Wei / 王维 (701 – 761) : Le parc aux magnolias
Le parc aux magnolias Les monts d’automne recueillent les derniers rayons ; Les oiseaux en vol poursuivent leurs compagnons. Des éclats émeraude par instant dévoilés ; Pour les brumes du soir, nul endroit où rester. Traduit du chinois par Florence Hu–Sterk...
24 février 2021

Wang Wei / 王维 (701 – 761) : « Seul assis parmi des bambous... »

Wang Wei / 王维 (701 – 761) : « Seul assis parmi des bambous... »
Seul assis parmi des bambous Je joue à la cithare en chantant Aucune personne au fond du bois Seule la lune brillante vient m’éclairer Traduit du chinois par Jean-Marie Gustave Le Clézio et Dong Qiang In, J.M.G. Le Clézio : « Le flot de la poésie continuera...
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