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Le bar à poèmes
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1 mai 2024

Guillaume Apollinaire (1880 – 1918) : La chanson du mal-aimé (2)

Guillaume Apollinaire (1880 – 1918) : La chanson du mal-aimé (2)
La chanson du mal-aimé .......................................................................... Réponse des Cosaques Zaporogues au Sultan de Constantinople Plus criminel que Barrabas Cornu comme les mauvais anges Quel Belzébuth es-tu là-bas Nourri d'immondice...
1 mai 2024

Guillaume Apollinaire (1880 – 1918) : La chanson du mal-aimé (1)

Guillaume Apollinaire (1880 – 1918) : La chanson du mal-aimé (1)
La chanson du mal-aimé À Paul Léautaud Et je chantais cette romance En 1903 sans savoir Que mon amour à la semblance Du beau Phénix s'il meurt un soir Le matin voit sa renaissance. Un soir de demi-brume à Londres Un voyou qui ressemblait à Mon amour vint...
1 mai 2023

Guillaume Apollinaire (1880 - 1918) : l’Adieu

Guillaume Apollinaire (1880 - 1918) : l’Adieu
L’adieu J’ai cueilli ce brin de bruyère L’automne est morte souviens-t’en Nous ne nous verrons plus sur terre Odeur du temps brin de bruyère Et souviens-toi que je t’attends Alcools, Editions du Mercure de France,1913 Du même auteur : Les colchiques (14/05/2014)...
1 mai 2022

Guillaume Apollinaire (1880 – 1918) : l’Ignorance

Guillaume Apollinaire (1880 – 1918) : l’Ignorance
L’ignorance ICARE Soleil, je suis jeune et c’est à cause de toi, Mon ombre pour être fauste je l’ai jetée. Pardon, je ne fais pas plus d’ombre qu’une étoile Je suis le seul qui pense dans l’immensité. Mon père m’apprit les détours du labyrinthe Et la...
1 mai 2021

Guillaume Apollinaire (1880 – 1918) : La victoire

Guillaume Apollinaire (1880 – 1918) : La victoire
La victoire Un coq chante je rêve et les feuillards agitent Leurs feuilles qui ressemblent à de pauvres marins Ailés et tournoyants comme Icare le faux Des aveugles gesticulant comme des fourmis Se miraient sous la pluie aux reflets du trottoir Leurs...
1 mai 2020

Guillaume Apollinaire (1880 – 1918) : Corps de chasse

Guillaume Apollinaire (1880 – 1918) : Corps de chasse
Eugène Montfort. — Portrait de Guillaume Apollinaire travesti en Louise Lalanne, 1909 Cors de chasse Notre histoire est noble et tragique Comme le masque d’un tyran Nul drame hasardeux ou magique Aucun détail indifférent Ne rend notre amour pathétique...
1 mai 2019

Guillaume Apollinaire (1880 – 1918) : Départ

Guillaume Apollinaire (1880 – 1918) : Départ
Dans l'atelier de Picasso, en 1910 Départ Et leurs visages étaient pâles Et leurs sanglots s’étaient brisés Après la neige aux purs pétales Comme ses mains sur les baisers Tombaient les feuilles automnales In, Revue « Nord-Sud, N°8, Octobre 1917 » Chez...
1 mai 2018

Guillaume Apollinaire (1880 – 1918) : Vitam impendere amori

Guillaume Apollinaire (1880 – 1918) : Vitam impendere amori
Vitam impendere amori L’amour est mort entre tes bras Te souviens-tu de sa rencontre Il est mort tu la referas Il s’en revient à ta rencontre Encore un printemps de passé Je songe à ce qu’il eut de tendre Adieu saison qui finissez Vous nous reviendrez...
14 mai 2017

Guillaume Apollinaire (1880 -1918) : Si je mourais là-bas

 Guillaume Apollinaire (1880 -1918) : Si je mourais là-bas
En 1916, après sa blessure à la tempe par un éclat d'obus. XII Si je mourais là-bas… Si je mourais là-bas sur le front de l’armée Tu pleurerais un jour ô Lou ma bien-aimée Et puis mon souvenir s’éteindrait comme meurt Un obus éclatant sur le front de...
14 mai 2016

Guillaume Apollinaire (1880 -1918) : A la Santé

Guillaume Apollinaire (1880 -1918) : A la Santé
Peint par Maurice de Vlaminck A la Santé I Avant d’entrer dans ma cellule Il a fallu me mettre nu Et quelle voix sinistre ulule Guillaume qu’es-tu devenu Le Lazare entrant dans la tombe Au lieu d’en sortir comme il fit Adieu adieu chantante ronde Ô mes...
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