12 février 2016
Hugo von Hofmannsthal (1874 – 1929) : Tercets sur la mortalité / Terzinen über vergänglichkeit
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I Je sens encore son souffle sur mes joues : Comment peut-il se faire que ces proches journées Soient enfuies, à jamais, entièrement passées ? C’est une chose que personne ne médite Pleinement, bien trop cruelle pour qu’on se plaigne : Que tout s’écoule...