Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Le bar à poèmes
21 août 2018

August von Platen (1796 – 1835) : « O tendre printemps... » / « O süßer Lenz... »

 August von Platen (1796 – 1835) : « O tendre printemps... » / « O süßer Lenz... »
O tendre printemps, fais que ton pas se hâte, Et, cette fois, viens encore plus tôt que de coutume ! Toi qui nous guéris quand notre cœur est serré, Et dont le doux remède toujours nous guérit ! Oh ! si je pouvais déjà au profond même de ta fleur, Quand...
Publicité
Publicité
23 juin 2018

Johann Wolfgang von Goethe (1749 – 1832) : Un autre pareil / Ein Gleiches

Johann Wolfgang von Goethe (1749 – 1832) : Un autre pareil / Ein Gleiches
Un autre, pareil Sur toutes les cimes, Plus rien ne bouge, Aux sommets des arbres, Tu perçois à peine, Un souffle d’air. Dans la forêt les oiseaux se sont tus. Attends, bientôt, Tu reposeras à ton tour. (6 septembre 1980) Traduit de l’allemand par Jean-Pierre...
16 avril 2018

Peter Huchel (1903 -1981) : Origine / Herkunft

Peter Huchel (1903 -1981) : Origine / Herkunft
Origine Le vent des ombres m’a porté la maison le sait-elle ? Les poires dans le buffet répandent une odeur mûre de vieil été. Là où le fléau sifflait le blé volait en tas. Là où au bord du lit, la lampe s’éteignait les draps étaient étendus. Comme je...
6 février 2018

Friedrich Hölderlin (1770 – 1843) : Chant du destin d’Hypérion / Hyperions Schickalslied

 Friedrich Hölderlin (1770 – 1843) : Chant du destin d’Hypérion / Hyperions Schickalslied
Chant du destin d’Hypérion Vous avancez là-haut dans la lumière Sur un sol tendre, bienheureux génies ; Les souffles scintillants des dieux Vous effleurent à peine, Ainsi les doigts musiciens Les cordes saintes. Les habitants du Ciel vivent purs de Destin...
27 novembre 2017

Wolfdietrich Schnurre (1920 – 1989) : Messages clandestins, poèmes 1945 – 1956 / Kassiber, gedichte 1945 – 1956 (III)

Wolfdietrich Schnurre (1920 – 1989) : Messages clandestins, poèmes 1945 – 1956 / Kassiber, gedichte 1945 – 1956 (III)
Messages clandestins ........................................................... TRIBULATIONS Ce n’est pas le sommeil qui t’alourdit les paupières, c’est le commencement de l’interrogatoire ; on a seulement éteint la lumière. Chauves-souris sont les questions...
Publicité
Publicité
21 août 2017

August von Platen (1796 – 1835) : « A l’ami allemand… » / « Dem deutschen Freunde »

August von Platen (1796 – 1835) : « A l’ami allemand… » / « Dem deutschen Freunde »
A l’ami allemand, guidé par les étoiles Vers cette Cité en son île parmi l’écume de la mer, Que ce petit livre serve de souvenir, Lorsqu’il longera les rives de la Lagune, Lorsque l’amour et l’art lui donneront de belles heures, Lorsqu’il sera étendu...
23 juin 2017

Johann Wolfgang von Goethe (1749 – 1832) : Chant de tempête du voyageur / Wanderers Sturmlied

Johann Wolfgang von Goethe (1749 – 1832) : Chant de tempête du voyageur / Wanderers Sturmlied
Chant de tempête du voyageur Celui que tu n’abandonnes pas, Génie, Ni la pluie ni la tempête Ne souffleront la frayeur en ton cœur. Celui que tu n’abandonnes pas, Génie, A la nuée d’averse, A la bourrasque de grêle Opposera sa chanson, Comme l’alouette,...
16 avril 2017

Peter Huchel (1903 – 1981) : « Sous la houe brillante de la lune… » / Unter der blanken Hacke des Monds… »

Peter Huchel (1903 – 1981) : « Sous la houe brillante de la lune… » / Unter der blanken Hacke des Monds… »
SOUS LA HOUE BRILLANTE DE LA LUNE je mourrai, sans avoir appris l’alphabet de l’éclair. Dans le filigrane de la nuit sans avoir déchiffré l’enfance des mythes. Ignorant je dévale, jeté aux os des renards. Traduit de l’allemand par Emmanuel Moses In, Peter...
6 février 2017

Friedrich Hölderlin (1770 – 1843) : Le Pays / Die Heimat

Friedrich Hölderlin (1770 – 1843) : Le Pays / Die Heimat
Le pays Joyeux le marinier vers le fleuve paisible rentre Des îles loin d’ici, quand sa moisson est faite ; Moi aussi, j’aimerais revenir au pays, si j’avais Autant que de douleur moissonné de richesses. Ô, vous, rives si chères qui jadis m’éduquèrent,...
1 février 2017

Novalis (1772 – 1801) : « Les prés se sont recouverts de verdure… / « Es färbte sich die Wiese grün… »

Novalis (1772 – 1801) : « Les prés se sont recouverts de verdure… / « Es färbte sich die Wiese grün… »
Les prés se sont recouverts de verdure Et j’ai vu fleurir près des haies ; Jour après jour pousser des herbes nouvelles, L’air était doux, le ciel serein, Je ne savais pas ce qui m’arrivait, Ni comme advenait ce que je voyais. Et la forêt s’assombrissait...
Publicité
Publicité
<< < 1 2 3 4 5 6 7 8 > >>
Le bar à poèmes
Publicité
Archives
Newsletter
95 abonnés
Publicité