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Le bar à poèmes
gonzalez
18 mai 2023

Angel González (1925 – 2008) : Rien n’est pareil / Nada es lo mismo

Angel González (1925 – 2008) : Rien n’est pareil / Nada es lo mismo
El País Rien n’est pareil La larme fut bonheur. Oublions les pleurs et recommençons, avec patience, en observant les choses jusqu’à trouver l’infime différence qui les sépare de leur entité d’hier et qui définit le passage du temps et son efficacité....
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18 mai 2022

Angel González (1925 – 2008) : Tout cela n’est rien / Esto no es nada

Angel González (1925 – 2008) : Tout cela n’est rien / Esto no es nada
Tout cela n’est rien Si nous avions suffisamment de force pour bien serrer un morceau de bois, il ne resterait entre nos mains qu’un peu de terre. Et si nous avions plus de force encore pour écraser avec toute notre énergie cette terre, il ne nous resterait...
18 mai 2021

Angel González (1925 – 2008) : Sonnet / Soneto

Angel González (1925 – 2008) : Sonnet / Soneto
Sonnet Là où j’apporte la vie j’apporte aussi le feu de ma passion entière et sans issue. Si l’amour a surgi, j’en ressens la blessure. Et si je montre ma foi, je joue avec ma vie. Je mets ma vie en jeu, je perds et je recommence, sans ma vie, la nouvelle...
18 mai 2020

Angel González (1925 – 2008) : Qu’y pouvons-nous ?

Angel González (1925 – 2008) : Qu’y pouvons-nous ?
Qu’y pouvons-nous ? Et maintenant l’âme vide une fois encore, je contemple le lent partage des jours qui me poussent vers je ne sais quel destin sombre, pressenti sans curiosité aucune. C’est ennuyeux de savoir et de ne pas savoir, de se tromper et d’avoir...
18 mai 2019

Angel González (1925 - 2008) : Le vaincu / El derrotado

Angel González (1925 - 2008) : Le vaincu / El derrotado
Le vaincu Loin derrière sont les décombres : ta maison, en pans fumants, les étés incendiés, le sang séché, ta maison , et ton sang où s’abat - comme un dernier vautour – le vent. Toi tu vas de l’avant, tu t’achemines vers l’avenir, ce temps qui mérite...
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18 mai 2018

Angel González (1925 – 2008) : Ce sont les mouettes, mon amour / Son las gaviotas, amor.

Angel González (1925 – 2008) : Ce sont les mouettes, mon amour / Son las gaviotas, amor.
Ce sont les mouettes mon amour Ce sont les mouettes, mon amour. Les lentes, les hautes mouettes. Mer hivernale. L’eau grise laisse un tâche froide sur les rochers. Tes jambes, tes douces jambes, attendrissent les vagues. Un ciel sale se vautre sur la...
18 mai 2017

Ángel González (1925 - 2008) : Anniversaire d’Amour / Cumpleaños de amor

Ángel González (1925 - 2008) : Anniversaire d’Amour / Cumpleaños de amor
Anniversaire d’amour Comment serai-je quand je ne serai plus ? Quand le temps aura modifié ma structure, et que mon corps sera un autre corps, mon sang un autre sang, autres mes yeux, autre ma chevelure. Je penserai peut-être à toi. Et mes corps successifs,...
18 mai 2016

Angel González (1925 - 2008 ) : Synesthésie

 Angel González (1925 - 2008 ) : Synesthésie
Synesthésie Absorbé et révérencieux avec ses ailes fermées, le papillon apprend dans la prose odorante de la rose. Ensuite, quand il les ouvrira, il restituera au paysage son parfum, métamorphosé en couleurs. Traduit de l’espagnol par Claude de Frayssinet,...
18 mai 2015

Angel González (1925 - 2008) : Monde inquiétant

Angel González (1925 - 2008) : Monde inquiétant
Monde inquiétant Monde inquiétant surgit brusquement. J’ai peur de la lune embaumée dans les eaux du fleuve de la forêt silencieuse qui égratigne de ses branches le ventre de la pluie, des oiseaux qui hurlent dans le tunnel de la nuit et de tout ce qui...
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