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Le bar à poèmes
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17 mai 2023

Paul Verlaine (1844 – 1896) : Clair de lune

Paul Verlaine (1844 – 1896) : Clair de lune
Clair de lune Votre âme est un paysage choisi Que vont charmant masques et bergamasques Jouant du luth et dansant et quasi Tristes sous leurs déguisements fantasques. Tout en chantant sur le mode mineur L'amour vainqueur et la vie opportune, Ils n'ont...
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17 mai 2022

Paul Verlaine (1844 – 1896) : Green

Paul Verlaine (1844 – 1896) : Green
Green Voici des fruits, des fleurs, des feuilles et des branches Et puis voici mon coeur qui ne bat que pour vous. Ne le déchirez pas avec vos deux mains blanches Et qu'à vos yeux si beaux l'humble présent soit doux. J'arrive tout couvert encore de rosée...
17 mai 2021

Paul Verlaine (1844 – 1896) : « Il pleure dans mon cœur... »

Paul Verlaine (1844 – 1896) : « Il pleure dans mon cœur... »
Il pleut doucement sur la ville (ARTHUR RIMBAUD) Il pleure dans mon cœur Comme il pleut sur la ville ; Quelle est cette langueur Qui pénètre mon cœur ? Ô bruit doux de la pluie Par terre et sur les toits ! Pour un cœur qui s’ennuie Ô le chant de la pluie...
17 mai 2020

Paul Verlaine (1844 – 1896) : L’heure du berger

Paul Verlaine (1844 – 1896) : L’heure du berger
L'heure du berger La lune est rouge au brumeux horizon ; Dans un brouillard qui danse, la prairie S'endort fumeuse, et la grenouille crie Par les joncs verts où circule un frisson ; Les fleurs des eaux referment leurs corolles ; Des peupliers profilent...
16 mai 2019

Paul Verlaine (1844 – 1896) : « Le son du cor... »

Paul Verlaine (1844 – 1896) : « Le son du cor... »
Le son du cor s'afflige vers les bois D'une douleur on veut croire orpheline Qui vient mourir au bas de la colline Parmi la bise errant en courts abois. L'âme du loup pleure dans cette voix Qui monte avec le soleil qui décline D'une agonie on veut croire...
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17 mai 2018

Paul Verlaine (1844- 1896) : l’Angoisse

Paul Verlaine (1844- 1896) : l’Angoisse
L’angoisse Nature, rien de toi ne m'émeut, ni les champs Nourriciers, ni l'écho vermeil des pastorales Siciliennes, ni les pompes aurorales, Ni la solennité dolente des couchants. Je ris de l'Art, je ris de l'Homme aussi, des chants, Des vers, des temples...
17 mai 2017

Paul Verlaine (1844 – 1896) : Chanson d’automne

Paul Verlaine (1844 – 1896) : Chanson d’automne
Chanson d'automne Les sanglots longs Des violons De l'automne Blessent mon coeur D'une langueur Monotone. Tout suffocant Et blême, quand Sonne l'heure, Je me souviens Des jours anciens Et je pleure ; Et je m'en vais Au vent mauvais Qui m'emporte Deçà,...
17 mai 2016

Paul Verlaine (1844 – 1896) : « Je ne sais pourquoi… »

Paul Verlaine (1844 – 1896) : « Je ne sais pourquoi… »
Je ne sais pourquoi Mon esprit amer D’une aile inquiète et folle vole sur la mer. Tout ce qui m’est cher, D’une aile d’effroi Mon amour le couve au ras des flots. Pourquoi, pourquoi ? Mouette à l’essor mélancolique, Elle suit la vague, ma pensée, À tous...
25 mai 2015

Paul Verlaine (1844 -1896) : Colloque sentimental

Paul Verlaine (1844 -1896) : Colloque sentimental
Colloque sentimental Dans le vieux parc solitaire et glacé Deux formes ont tout à l'heure passé. Leurs yeux sont morts et leurs lèvres sont molles, Et l'on entend à peine leurs paroles. Dans le vieux parc solitaire et glacé Deux spectres ont évoqué le...
25 mai 2014

Paul Verlaine (1844 -1896) : Le ciel est par - dessus le toit

Paul Verlaine (1844 -1896) : Le ciel est par - dessus le toit
Le ciel est, par - dessus le toit, Si bleu, si calme ! Un arbre, par-dessus le toit, Berce sa palme. La cloche, dans le ciel qu'on voit, Doucement tinte. Un oiseau sur l'arbre qu'on voit Chante sa plainte. Mon Dieu, mon Dieu, la vie est là Simple et tranquille....
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