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Le bar à poèmes
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13 novembre 2021

Paul Valéry (1871 – 1945) : Cantique des colonnes

Paul Valéry (1871 – 1945) : Cantique des colonnes
Cantique des colonnes À Léon-Paul Fargue. Douces colonnes, aux Chapeaux garnis de jour, Ornés de vrais oiseaux Qui marchent sur le tour, Douces colonnes, ô L’orchestre de fuseaux ! Chacun immole son Silence à l’unisson... — Que portez-vous si haut, Égales...
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16 juin 2019

Paul Valéry (1871 – 1945) : Narcisse parle

Paul Valéry (1871 – 1945) : Narcisse parle
Narcisse parle. Narcissæ placandis manibus. O frères ! tristes lys, je languis de beauté Pour m’être désiré dans votre nudité, Et vers vous, Nymphes, Nymphes, ô Nymphes des fontaines Je viens au pur silence offrir mes larmes vaines. Un grand calme m’écoute,...
16 juin 2018

Paul Valéry (1871 – 1945) : De la mer océane

Paul Valéry (1871 – 1945) : De la mer océane
De la mer océane Mer. Océan. Cap Breton. La grande forme qui vient d’Amérique avec son beau creux et sa sereine rondeur trouve enfin le socle, l’escarpe, la barre. La molécule brise sa chaîne - Les cavaliers blancs sautent par delà eux-mêmes. L’écume...
16 juin 2017

Paul Valéry (1871 – 1945) : Le Sylphe

Paul Valéry (1871 – 1945) : Le Sylphe
Le Sylphe Ni vu ni connu Je suis le parfum Vivant et défunt Dans le vent venu ! Ni vu ni connu, Hasard ou génie ? A peine venu La tâche est finie ! Ni lu ni compris ? Aux meilleurs esprits Que d'erreurs promises ! Ni vu ni connu, Le temps d'un sein nu...
27 mai 2015

Paul Valéry (1871 - 1945) : Le cimetière marin

Paul Valéry (1871 - 1945) : Le cimetière marin
Le Cimetière marin Μή, φίλα ψυχά, βίον ἀθάνατον σπεῦδε, τὰν δ᾽ ἔμπρακτον ἄντλει μαχανάν. PINDARE, Pythiques, III Ce toit tranquille, où marchent des colombes, Entre les pins palpite, entre les tombes; Midi le juste y compose de feux La mer, la mer, toujours...
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29 mai 2014

Paul Valéry (1871 - 1945) : La fileuse

Paul Valéry (1871 - 1945) : La fileuse
La Fileuse Assise, la fileuse au bleu de la croisée Où le jardin mélodieux se dodeline ; Le rouet ancien qui ronfle l'a grisée. Lasse, ayant bu l'azur, de filer la câline Chevelure, à ses doigts si faibles évasive, Elle songe, et sa tête petite s'incline....
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