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Le bar à poèmes
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16 août 2022

Michel Manoll (1911 – 1984) : Confrontation

 Michel Manoll (1911 – 1984) : Confrontation
Michel et Thérèse Manoll Confrontation J’ai revu la vieille ville de mon adolescence et la maison où j’écoutais gronder le flot de l’avenir qui n’a jamais de cesse et toujours recommence. Tant de ciels migrateurs se sont-ils dispersés Que je ne retrouve...
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16 août 2021

Michel Manoll (1911 – 1984) : Si je ferme les yeux

Michel Manoll (1911 – 1984) : Si je ferme les yeux
Si je ferme les yeux Si je ferme les yeux, il faut bien que tu dormes, Puisque nous éteignons la même lampe humaine, Qui nous éclaire un peu au sortir de l’abîme Et nous rassemble autour de sa flamme incertaine ; Chaque nuit nous délite et modèle nos...
22 avril 2020

Michel Manoll (1911 – 1984) : A René Guy Cadou

Michel Manoll (1911 – 1984) : A René Guy Cadou
A René Guy Cadou Ô mon ami, glycine odorante d’avril Et qui tiens sous ton joug un essaim de pétales, Le temps n’a pas pouvoir de dénouer le fil Qui nous rattache au même océan végétal, Le temps n’a pas pouvoir de faner le pistil Où la lumière avive,...
6 mars 2018

Michel Manoll (1911 – 1984) : La maison de la mer

Michel Manoll (1911 – 1984) : La maison de la mer
La maison de la mer Non, ne me cherchez plus sous ces tuiles disjointes, Mouette d’autrefois, visiteuse attentive, Je ne reviendrai plus m’asseoir à cette table, Ni reprendre ma place à l’orée de la mer ; Celui qui cherchait là un langage accessible Au...
6 mars 2017

Michel Manoll (1911 – 1984) : Service de nuit

Michel Manoll (1911 – 1984) : Service de nuit
Service de nuit Est-ce le facteur de l’éternité qui m’apportera des lettres de Louisfert Portant le cachet d’un hameau comme il en existe sûrement par-delà la terre Les mots seront un peu brouillés pour avoir traversé le tohu-bohu stellaire Mais dans...
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5 mars 2016

Michel Manoll (1911 -1984) : La flamme en nous qui sombre

Michel Manoll (1911 -1984) : La flamme en nous qui sombre
La flamme en nous qui sombre Le temps qui m’appartient et me fut accordé Qu’en reste-t-il ? A peine sais-je qu’une vague Hissant son pavillon à la cime des eaux S’est perdue corps et biens, abandonnant au roc Sa cargaison de houle et sa proue hauturière....
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