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Le bar à poèmes
milliot
15 juin 2020

Roger Milliot (1927 -1968) : « La pierre... »

Roger Milliot (1927 -1968) : « La pierre... »
La pierre passe aussi Par le froid de la mort Laissant la lumière dehors Garde la nuit sans fêlure Mais soit clair Si l’on te fend. Qui ? Edition complète et définitive Mostra del Larzac, 1969 Du même auteur : Pour une mort choisie (08/07/2014) « Je me...
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14 juin 2019

Roger Milliot (1927 – 1868) : Qui ?

Roger Milliot (1927 – 1868) : Qui ?
Qui Qui parle en moi, qui me regarde, d’où ? Qui dit le bien, le mieux, le pire ? Qui veut l’amour, qui nie l’amour ? Qui perce des issues, qui ouvre des gouffres ? Qui se sent étranger ? Qui habite le vide Où ce grand cri résonne ? Qui tient haut les...
14 juin 2018

Roger Milliot (1927 – 1968) : « Il y a ce corridor sans fenêtre... »

Roger Milliot (1927 – 1968) : « Il y a ce corridor sans fenêtre... »
Il y a ce corridor sans fenêtre Sans lézarde Des coups obscurs Des pas comptés Un à un ajoutés A force de vouloir L’azur encore Au bout, problématique Surtout ne pas se retourner Sur la suite infinie Du manqué De l’inconnu De l’imaginé Sur les mille stations...
15 juin 2017

Roger Milliot (1927 – 1968) : Ville

Roger Milliot (1927 – 1968) : Ville
Ville On cherche en vain son ciel Dans le regard de ceux A qui l’on demande une rue Où trouver l’amitié d’un arbre, Ces rues comme des sarcophages Où l’on vient essayer sa mort Monde de chenilles arpenteuses Glissement souple des échines L’un contre l’autre...
15 juin 2016

Roger Milliot (1927 - 1968) : « Je me forçais à naître chaque jour… »

Roger Milliot (1927 - 1968) : « Je me forçais à naître chaque jour… »
Je me forçais à naître chaque jour Dans l’innocence provoquée Et je finis par naître tout à fait A jamais lié à ton apparition Ce fut comme au jour premier Tu séparas ténèbres et clartés Tu séparas le doute et l’accord Tu inventas mon premier mot Et tous...
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8 juillet 2014

Roger Milliot (1927-1968) : Pour une mort choisie

Roger Milliot (1927-1968) : Pour une mort choisie
P our une mort choisie Il faut laisser cela A la porte de l’âme Il faut entrer léger Sur la pointe des pieds Dans la mort transparente Comme une eau de cascade Qui lave les plaies du chemin Poser sous le portique Le bâton des rancunes Vider les poches...
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