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Un verre de thé sur la natte

le vent ramène le nuage bleu

égaré dans le bois

les vieux parlent du passé

les jeunes parlent peu

hument et rient

le ciel s’éloigne des sables

 

Les amandiers sont morts de leurs blessures

Editions Maspero / La Découverte,, 1976

Du même auteur : 

Poèmes par amour (19/06/2015)

« Que de cendres dans mon crâne… » (19/06/2016)

« Je tourne le dos à la ville… » (19/06/2017)

« Etranger... » (19/06/2018)

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