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Le bar à poèmes
nerval
27 juillet 2019

Gérard de Nerval (1808 – 1855) : Vers dorés

Gérard de Nerval (1808 – 1855) : Vers dorés
Vers dorés Homme, libre penseur ! te crois-tu seul pensant Dans ce monde où la vie éclate en toute chose ? Des forces que tu tiens ta liberté dispose, Mais de tous tes conseils l’univers est absent. Respecte dans la bête un esprit agissant : Chaque fleur...
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27 juillet 2018

Gérard de Nerval (1808 – 1855) : Myrtho

Gérard de Nerval (1808 – 1855) : Myrtho
Myrtho Myrtho, divine enchanteresse, Au Pausilippe altier, de mille feux brillant, A ton front inondé des clartés d’Orient, Aux raisins noirs mêlés avec l’or de ta tresse. C’est dans ta coupe aussi que j’avais bu l’ivresse, Et dans l’éclair furtif de...
27 juillet 2017

Gérard de Nerval (1808 – 1855) : Le point noir

Gérard de Nerval (1808 – 1855) : Le point noir
Le point noir Quiconque a regardé le soleil fixement Croit voir devant ses yeux voler obstinément Autour de lui, dans l’air, une tache livide. Ainsi, tout jeune encore et plus audacieux, Sur la gloire un instant j’osai fixer les yeux : Un point noir est...
27 juillet 2016

Gérard de Nerval (1808-1855) : Une allée du Luxembourg

Gérard de Nerval (1808-1855) : Une allée du Luxembourg
Une allée du Luxembourg Elle a passé, la jeune fille Vive et preste comme un oiseau À la main une fleur qui brille, À la bouche un refrain nouveau. C'est peut-être la seule au monde Dont le coeur au mien répondrait, Qui venant dans ma nuit profonde D'un...
27 juillet 2015

Gérard de Nerval (1808 – 1855) : Epitaphe

Gérard de Nerval (1808 – 1855) : Epitaphe
Epitaphe Il a vécu tantôt gai comme un sansonnet, Tour à tour amoureux insoucieux et tendre, Tantôt sombre et rêveur comme un triste Clitandre. Un jour il entendit qu'à sa porte on sonnait. C'était la Mort ! Alors il la pria d'attendre Qu'il eût posé...
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23 mai 2014

Gérard de Nerval (1808 - 1855) : El Desdichado

Gérard de Nerval (1808 - 1855) : El Desdichado
El Desdichado Je suis le ténébreux, - le veuf, - l'inconsolé, Le prince d'Aquitaine à la tour abolie : Ma seule étoile est morte, - et mon luth constellé Porte le soleil noir de la Mélancolie. Dans la nuit du tombeau, toi qui m'as consolé, Rends-moi le...
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