sur ma peau
douce et chaude
n’es-tu pas triste
que ta main ne se pose,
toi qui me parle de la Voie.
Traduit du japonais par Denis Andro et Makiko Ueda
In, Revue « Vagabondages, N° 77, Janvier/Février/Mars 1990 »
Association Paris-poète
3, rue Séguier, 1990
De la même autrice : « le printemps est si court… » (01/10/2014)
Le printemps est si court à quoi bon parler de la vie éternelle ?
Murmurais-je en lui tendant mes seins
Traduit du japonais par Yves – Marie Allioux
In « Poèmes de tous les jours. Anthologie proposée et commentée par Ôoka Makoto ».
Picquier, 1993
De la même autrice : « sur ma peau douce et chaude… » (20/09/2016)