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Le bar à poèmes
markowicz
19 mars 2024

André Markowicz (1960 -) : « Car le visage est... »

André Markowicz (1960 -) : « Car le visage est... »
Car le visage est jusqu’au bout, intempestif, et la semblance est innombrable – on dit : fluente. La tendresse qu’on éprouve à regarder un enfant se dissipe quand lui vient sa solitude. La porte claque et tout tremble. J’ai ses yeux sur moi qui me dénudent,...
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19 mars 2023

André Markowicz (1960 -) : « Un sommeil haché... »

André Markowicz (1960 -) : « Un sommeil haché... »
Photo : Damien Meyer Un sommeil haché par la même image pas vraiment dicible – d’ailleurs, la même, va savoir, - la même attraction, la même force de trouble en tout cas, - tangage et angoisse vague, maternelle, un pressentiment de cercle d’ombres, chaque...
18 mars 2022

André Markowicz (1960 -) : « Une chute lente... »

André Markowicz (1960 -) : « Une chute lente... »
Grégoire Maisonneuve / Bulac Une chute lente, noire et rouge – chute, ce n’est pas le mot, - glissade est plus juste, si je considère qu’elle se déroule, sans aucune ecchymose, sans contact, à peine cette sensation que les organes restent suspendus dans...
19 mars 2021

André Markowicz (1960 -) : « Laisse ton adresse... »

André Markowicz (1960 -) : « Laisse ton adresse... »
Laisse ton adresse, dit en rêve, dans le train de nuit où tu somnoles, l’ombre qui se fond, tournant le buste en parlant, si bien que ce qui sonne te parvient issu non de sa bouche mais du glissement de son absence vers une autre image et si, le pauvre,...
19 mars 2020

André Markowicz (1960 -) : Trois textes d'un été

André Markowicz (1960 -) : Trois textes d'un été
Trois textes d’un été 1 Par quelle il a dit pierre ouverte à la volée en deux, « le long du cœur » , la bistre frondaison des étourneaux, la stri- dulence jaune vrille et veille, la pierre devient cailloux disposés sur rien, l’air nu, tant qu’on sent...
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19 mars 2019

André Markowicz (1960 -) : Trois aubes

André Markowicz (1960 -) : Trois aubes
Trois aubes I. Chanson Tissus de l’amour-dieu la « feuille jaunissante » et l’élan vers le rien au jour le jour, et le grand ire au cœur de la grièche et la peau grivelée de nos soucis de l’un pour l’autre sous la canicule, j’ai fermé les yeux pour vous,...
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