Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Le bar à poèmes
holderlin
6 février 2024

Friedrich Hölderlin (1770 - 1843) : Patmos

Friedrich Hölderlin (1770 - 1843) : Patmos
Patmos Au Landgrave de Hombourg Proche et dur à saisir, le dieu. Mais aux lieux du danger, la délivrance croît aussi. Dans l’obscur séjournent les aigles et les fils des Alpes s’en vont sans crainte par-dessus l’abîme sur des ponts légèrement bâtis. Aussi,...
Publicité
Publicité
6 février 2023

Friedrich Hölderlin (1770 - 1843) : Pain et vin / Brot und wein

Friedrich Hölderlin (1770 - 1843) : Pain et vin / Brot und wein
Pain et vin A Heinze 1 En cercle là autour repose la ville, silencieuse est la rue illuminée Et ornées de flambeaux s’éloignent les voitures crissantes, Rassasiés des joies du jour les hommes retournent au repos Et pesant gains et pertes quelque tête...
6 février 2022

Friedrich Hölderlin (1770 - 1843) : La moitié de la vie / Hälfte des Lebens

Friedrich Hölderlin (1770 - 1843) : La moitié de la vie / Hälfte des Lebens
La moitié de la vie Lourde de poires jaunes Et pleine de roses sauvages La terre est penchée sur le lac, Et vous, cygnes charmants, Enivrés de baisers, Vous trempez votre tête Dans l’eau sobre et sacrée. Où, malheureusement, irai-je prendre, Quand vient...
1 août 2021

Friedrich Hölderlin (1770 - 1843) : Fête de la paix / Friedensfeier

Friedrich Hölderlin (1770 - 1843) : Fête de la paix / Friedensfeier
Fête de la paix Veuillez, je vous prie, ne lire ces feuilles qu’avec bonté. Je suis sûr qu’ainsi ce poème ne sera pas incompréhensible, et encore moins choquant. S’il se trouvait cependant certaines personnes pour estimer cette langue trop peu conventionnelle,...
5 février 2021

Friedrich Hölderlin (1770 - 1843) : « Comme, lorsqu’au jour de fête... » / « Wie wenn am Feiertage...

Friedrich Hölderlin (1770 - 1843) : « Comme, lorsqu’au jour de fête... » / « Wie wenn am Feiertage...
Dessin de Mary Evans Picture Library Comme, lorsqu’au jour de fête, pour aller inspecter son champ, Un paysan s’en va le matin, quand pendant tout le temps D’une brûlante nuit la fraîcheur des éclairs est tombée Et qu’au loin retentit encore le tonnerre...
Publicité
Publicité
5 février 2020

Friedrich Hölderlin (1770 - 1843) : En bleu adorable / In lieblicher Bläue

 Friedrich Hölderlin (1770 - 1843) : En bleu adorable / In lieblicher Bläue
En bleu adorable En bleu adorable fleurit Le toit de métal du clocher. Alentour Plane un cri d’hirondelles, autour S’étend le bleu le plus touchant. Le soleil Au-dessus va très haut et colore la tôle, Mais silencieuse, là-haut, dans le vent, Chante la...
6 février 2019

Friedrich Hölderlin (1770 – 1843) : Fantaisie du soir / Abendphantasie

Friedrich Hölderlin (1770 – 1843) : Fantaisie du soir / Abendphantasie
Fantaisie du soir Assis dans l’ombre, devant sa cabane, tranquillement Le laboureur, le frugal, voit son âtre qui fume. Dans la paix du village la cloche du soir salue Le voyageur au loin de sons hospitaliers. En cette heure sans doute les marins rentrent...
6 février 2018

Friedrich Hölderlin (1770 – 1843) : Chant du destin d’Hypérion / Hyperions Schickalslied

 Friedrich Hölderlin (1770 – 1843) : Chant du destin d’Hypérion / Hyperions Schickalslied
Chant du destin d’Hypérion Vous avancez là-haut dans la lumière Sur un sol tendre, bienheureux génies ; Les souffles scintillants des dieux Vous effleurent à peine, Ainsi les doigts musiciens Les cordes saintes. Les habitants du Ciel vivent purs de Destin...
6 février 2017

Friedrich Hölderlin (1770 – 1843) : Le Pays / Die Heimat

Friedrich Hölderlin (1770 – 1843) : Le Pays / Die Heimat
Le pays Joyeux le marinier vers le fleuve paisible rentre Des îles loin d’ici, quand sa moisson est faite ; Moi aussi, j’aimerais revenir au pays, si j’avais Autant que de douleur moissonné de richesses. Ô, vous, rives si chères qui jadis m’éduquèrent,...
14 février 2016

Friedrich Hölderlin (1770 – 1843) : Ainsi Ménon pleurait Diotima / Menons Klagen um diotima

Friedrich Hölderlin (1770 – 1843) : Ainsi Ménon pleurait Diotima / Menons Klagen um diotima
Ainsi Ménon pleurait Diotima I Chaque jour je m’en vais sous le ciel et je cherche en vain un changement. Je leur ai depuis longtemps tout demandé, aux sentiers de la campagne ; les collines là-haut où souffle la fraîcheur, j’erre de l’une à l’autre,...
Publicité
Publicité
1 2 > >>
Le bar à poèmes
Publicité
Archives
Newsletter
96 abonnés
Publicité