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Le bar à poèmes
20 avril 2017

Abd-al- Wahab Al-Bayati (1926 -د الوهاب البياتي/ (1999 : Tristesse de la violette

 Abd-al- Wahab Al-Bayati (1926 -د الوهاب البياتي/ (1999 : Tristesse de la violette
Tristesse de la violette Les multitudes qui travaillent Ne rêvent pas à la mort du papillon Ni aux tristesses des violettes Ni au voile qui scintille Sous la lumière de la lune verte des nuits d’été Ni aux amours du fou avec son fantôme Les multitudes...
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28 mars 2017

Nazik al –Malaïka (1923 - 2007) / نازك الملائكة : Oraison funèbre pour une femme sans importance

Nazik al –Malaïka (1923 - 2007) / نازك الملائكة : Oraison funèbre pour une femme sans importance
Oraison funèbre pour une femme sans importance Elle nous quitta sans que blêmisse une joue ou frémisse une lèvre Les portes n’entendirent personne rapporter le récit de sa mort Aucun rideau de fenêtre suintant le chagrin Ne se leva pour suivre son cercueil...
24 février 2016

Badr Châker al-Sayyâb / بدر شاكر السياب ‎(1926- 1964) : Retour à Jaykour

Badr Châker al-Sayyâb / بدر شاكر السياب ‎(1926- 1964) : Retour à Jaykour
Retour à Jaykour Sur le coursier du rêve Je suis parti à travers les collines, Fuyant la ville, ses tournoyantes poussières Son souk plein de marchands, Son aube basse, Sa nuit sifflante et ses passants, Sa lumière sans couleur, Son dieu lavé avec le...
11 février 2016

Abd-al-Wahab Al-Bayati (1926 - 1999) / عبد الوهاب البياتي : Amants en exil

Abd-al-Wahab Al-Bayati (1926 - 1999) / عبد الوهاب البياتي : Amants en exil
Amants en exil (…) Là-bas dans les vases périssent les fleurs Et le soleil embrasse les maisons. Et la chanson des enfants Poursuit la ronde ancienne Et les vendeurs ambulants Et les cœurs insouciants Marchandent toujours Les restes de ce petit aigle...
6 janvier 2016

Nazik al –Malaïka / نازك الملائكة (2007- 1923) : Déshonneur

Nazik al –Malaïka / نازك الملائكة (2007- 1923) : Déshonneur
Déshonneur « O mère ! » fut le cri de sa nuit, De son râle implorant, Tandis que de son corps tremblant Sous le poignard s’ouvrait le sang, A sa chevelure la boue s’était prise. « O mère ! » nul que le bourreau ne l’entendit. A l’aube de demain, aux roses...
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