
Tout ce que nous quittons à jamais
I
Le paysage qui pèse de plus en plus,
c’est par en avant, là où se terre
la nuit dans sa porosité, quand les
yeux n’en finissent plus de ne rien
remarquer : la place des corps dans
l’espace qui se débat, le peu de ciel
qui nous reste au beau milieu du réel.
Les mêmes rêves ratés, aussi bien à
Varsovie qu’à Prague blancs dans
la honte de la craie autour du cœur.
II
Hors des ventres pour ne rencontrer que
le chaos, dans le réveil mortel de la mer
où nous...
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