
Soir inédit
Je pose en vie
Montré d’une chemise
A quatre envies d’une rouille
Qui me verse une faute à manger
Je crie dans l’usure d’une tige
Je source à taper la vie
Je neige enfin et me demande
Mon père m’a lu comme une encre de rage
Ma mère s’est défaite et mon sang s’est retiré
J’ai pris ma pelle alors comme un bien sinistre
Fauchant la mort j’ai mangé comme il faut
Le bruit qui tête le fer comme une terre éteinte
Le cri qui flâne à côté des oursins
Ne mangent qu’un...
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