
Le jour viendra – si triste, paraît-il –
Où mes yeux, ainsi qu’une flamme, agiles
Auront fini de régner et brûler –
Refroidis par cinq kopecks étrangers*.
Et, tel un sosie palpant son image,
La face paraîtra sous le visage.
Ô, je t’aurai à la fin méritée,
Belle ceinture de sérénité.
Et au lointain (vous aussi vous verrai-je ?)
Sur le sentier noir viendra le cortège
Des pèlerins se signant en désarroi –
Vers ma main qui ne se repliera pas,
Vers ma main plus frappée par l’anathème,
Vers ma main qui...
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