
12.IV
Je crois qu’il n’y a personne qui pleure sur mon chagrin,
que je suis tout seul à porter,
si ce n’est la très noble dame, que j’aime loyalement,
si elle perçoit ma plainte.
Hélas ! pourquoi me comporter ainsi ? Je suis de tout mon cœur
si totalement absorbé dans mes pensées pour elle que je ne voudrais pas
échanger un royaume contre son amour,
même si je pouvais en décider et le choisir moi-même.
Qui ne me permet pas de l’aimer en secret,
voyez, il a tort.
Quand je...
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