
Dans la lumière de l’été
Sonne, clairon, sonne encore
Il ne t’entend pas
celui qui est perdu dans l’océan au milieu
des coraux Chaque vague soulève son dos
très haut Ta voix
ne s’entend même plus à présent
dans le chuintement de
l’écume La lumière qui te porte
est mortelle
Traduit du portugais par Michelle Giudicelli
in, Gastão Cruz : « Les pierres noires »
L’Escampette éditeur, 1999
Na luz do verão
Clarim toca de novo
Não te ouve
Quem está no...
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