
Trop et grief* faix** que de vieux devenir * pénible ** fardeau
D’avoir passé le joli temps d’été,
Le riche automne où n’a nul revenir.
Plus ne saurez ainsi qu’aurez été,
Dont* pleurerez, et moult** vous pèsera * d’où ** beaucoup
Voir votre cours par vieillesse arrêté.
Chacun de vous alors s’accusera
De ses beaux jours perdus et oubliés,
Et ses genoux de pleur...
[Lire la suite]