
Fête de la paix
Veuillez, je vous prie, ne lire ces feuilles qu’avec bonté. Je suis sûr qu’ainsi
ce poème ne sera pas incompréhensible, et encore moins choquant. S’il se
trouvait cependant certaines personnes pour estimer cette langue trop peu
conventionnelle, il faut bien que j’avoue une chose : c’est que je ne peux pas
faire autrement. N’est-on pas disposé, quand la journée est belle, à entendre
toute façon de chanter, et la nature, dont ce champ provient, le reprend aussi.
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