
Falparsi
A Marcel Noll
La nature éternelle
Me réchauffe en ses seins
L’heure et ma ritournelle
Sont mes deux médecins
Dansez dansez danseuse
Voici le temps d’aimer
D’aimer sous les yeuses
Comme au bord de la mer
La chaleur enivrante
Me monte jusqu’aux yeux
Mon âme fulgurante
S’élève jusqu’aux cieux
In, revue « La révolution surréaliste, N° 4, 15 Juillet 1925 »
Librairie Gallimard, 1925
Du même auteur :
Vingt ans après (24/05/2014)
« J’arrive où je suis...
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