
San Martino Del Carso
Petit vallon de l’arbre isolé, 27 Août 1916
De toute ces maisons
Il n’est resté
Que ces vagues pans de mur.
De toutes mes amitiés
Il n’est resté si peu que rien.
Mais il ne manque aucune croix
Dans mon cœur.
Mon cœur est le pays le plus dévasté
Traduit de l’italien par Sicca Venier
in, « Poètes d’Italie, Anthologie »
Editions de La Table Ronde, 1999
Saint-Martin du Carso
De toutes ces maisons
il n’est resté
que ces...
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