
Les derniers vers
STANCES
J’ai varié ma vie en dévidant la trame
Que Clothon (1) me filait entre malade et sain,
Maintenant la santé se logeait en mon sein,
Tantôt la maladie, extrême fléau de l’âme.
La goutte ja (*) vieillard me bourrela (**) les veines, (*) déjà (**) tortura
Les muscles et les nerfs, exécrable douleur,
Montrant en cent façons par cent diverses peines
Que l’homme n’est sinon le sujet du malheur.
...
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