
La grièche d’été
En rappelant ma grand folie
qui n’est ni gente, ni jolie
mais est vilaine
et vilain celui qui la conte,
me plains sept jours en la semaine
et par raison.
Jamais nul ne fut si perdu !
En hiver toute la saison
j’ai tant œuvré
et je me suis tant appliqué
qu’en oeuvrant n’ai rien recouvré
dont je me couvre.
C’est fol ouvrier et folle œuvre
qui par son travail rien ne gagne :
tout tourne à perte
et la grièche est si experte
qu’« échec » dit « à la découverte »
à son...
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