
Nous abîmez alors dans la louange de vos gestes,
Ainsi, afin de demeurer,
Car la face de dieu toujours dans l’ombre persévère.
Les traces de vos pas m’ouvrent un chemin serein,
Jamais le corps ne fut un si grand risque.
*
Je fus il y a longtemps abordé et fidèle,
Aujourd’hui à ma porte,
Lorsque sont devant moi les ténèbres du soir,
Je ne sais rien sinon l’espace de ma chair
Et sur des mains absentes les traces de mes mains ;
Et souvent aux degrés la brise de passage
...
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