
A l'abri des hameaux, de la mer familière et des routes,
Je foule en votre honneur les prés. Au moment du regain,
Nous les foulions de même et nous rivalisions dans le sillage des fougères,
Portés par un désir qui naissait identique à son achèvement !
Ah ! J'embrassais en vous la bonté de la mer et des branches!
J'attendais que le plein de la nuit dévoilât votre intense tiédeur.
Le vent reprend sa course. Il fascine et soulève les cendres !
Ses trophées, commençant à pourrir sous l'empire des murs,
N'ont rien de...
[Lire la suite]