
Le néant n’est que moi-même
l’univers n’est que ma tombe
le soleil n’est que la mort
mes yeux sont l’aveugle foudre
mon cœur est le ciel
où l’orage éclate
en moi-même
au fond d’un abîme
l’immense univers est la mort
L’Archangélique
Revue « Messages »,1944