
Tu marches vers la mort qui t’as épargné jusqu’ici afin que tu ailles, de ton
plein gré, vers elle. Tu marches sur toutes les morts qui furent les tiennes et
celles de ta race, sur les sens obscurs et les non-sens de tous ces morts.
Et c’est moi qui te force à marcher ; moi qui sème tes pas.
Et c’est moi qui pense, qui parle pour toi, qui cherche et qui cadence ;
Car je suis écriture
et toi...
[Lire la suite]