
Presque rien à Sidi Slimane, le temps qui vient
Tu ne disais rien. Je t’accueillais dans mon cœur à Sidi Slimane, dans le tien.
J’avais l’impression d’un endroit mal cousu à la campagne,
Le pas court et continuel des mules se mêle
A d’encombrants bruits de camions.
Le temps passe en mobylette. On reste à regarder
Les cadres d’entrée mal peints des magasins, l’hôtel Splendide
Se défait lentement d’un luxe ancien.
Les gens sont riches et les gens sont pauvres à Sidi Slimane, le soir
Les camions...
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