
J’ai parcouru maints pays étrangers,
je n’ai pas trouvé de chemin menant au monde.
Des roses, j’en ai vu par milliers dans les jardins,
aucune ne ressemblait à ma bien aimée.
Je me suis lassé du langage amer des hommes
des longues années pleines de tristesse.
En espérant de l’aide des torrents qui coulent
je n’ai pu trouver d’aussi ruisselants que moi-même.
Je me suis consumé à toutes les flammes
je me suis cloué à un poignard
le cœur percé je suis tombé
et je n’ai pas trouvé de main pour me...
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