
Un jour de juin
d’après un épithalame de Georges Pérec
Le ciel est bleu ou le sera bientôt
Le soleil cille au-dessus de l’île de la Cité
La terre entière écoute les sonates du Rosaire de Heinrich Biber
L’encre et l’image se retrouvent solidaires et alliées
Comme l’oubli et la trace
Au début des années obéissantes
Et le jais noir de la toute jeunesse
et la turquoise bleue de l’être-adulte
Et l’abalone jaune du néant qui ne se conçoit...
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