
Inscrit dans la salle de méditation
à l’arrière du Poshansi
Soleil de l’aube à l’entrée du vieux temple,
Le jour paraît sur la haute futaie.
Un sentier de bambous mène au secret
Des cellules tapies dans la verdure.
Clarté des monts où s’égaient les oiseaux,
Reflets des eaux où s’épurent les cœurs,
Toute rumeur du monde ici s’est tue,
Rien que le son de la cloche et du gong.
Traduit du chinois par Jean-Pierre Diény
in, « Jeux de montagnes et d’eaux »
Editions Michalon (Encre...
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