
Nahayar
Au plus suave du parfum, plus parée
Que la séduction, plus que le jour à sa pointe,
Elle fut. La beauté fut. Branches épanouies soudain,
Arpège d’une écharpe au coulant de la taille,
Son nom est fruit du jasmin.
O papillon, papillon, calme tes ailes !
Naya est fille de l’esprit. Quelle orgueilleuse étincelle
L’a proférée pour l’humiliation du soleil !
Plénière, la voici. Colline de roses, sa hanche ?
Colline d’épées nues ?
Furtive, elle a touché sa hanche, pas longtemps
De peur...
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