
Chant de tempête du voyageur
Celui que tu n’abandonnes pas, Génie,
Ni la pluie ni la tempête
Ne souffleront la frayeur en ton cœur.
Celui que tu n’abandonnes pas, Génie,
A la nuée d’averse,
A la bourrasque de grêle
Opposera sa chanson,
Comme l’alouette,
Ô toi, tout là-haut.
Celui que tu n’abandonnes pas, Génie,
Tu le soulèveras au-dessus du sentier fangeux
Avec les ailes de feu.
Il passera
Comme, marchant sur des fleurs
Sur le déluge boueux de Deucalion
Et tuant Python, léger, grand,
Pythius...
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