
Je t’apprends à mourir
Non pas en face jamais ainsi Une épaule d'abord et puis l'autre Tête légère et basse et presque assise A petits cris doucement tu entres Et voici l'ombre t'a saisie Te souvenant que tu n'existes pas Qu'il n'y a plus les eaux qu'il n'y a pas Encore un feu qui ont chanté qui chantent Et chanteront tout au long de l'oubli Peut-être avec l'érable aux lentes branches Et plein d'oiseaux pour te remplir Mais nul regret surtout nul repentir Qu'importe à présent si je t'aime qu'importe Les...
[Lire la suite]