
Attente. Je reprends ma respiration, je m’élève, devant moi la
plaine accueillante où la mort tient la maison prête pour mon amour.
Je n’y suis pas encore. La mort la mer qui m’étreint dans mon insomnie.
Et la fièvre dans ma gorge toujours entre moi et le signe que je guette.
Traduit du breton par l’auteur
In, Revue « Vagabondages, N°36, Février 1982 »
Association Paris-Poète, 1981
Du même auteur :
« Un...
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