
(…)
Baise-moi donc, ma sucrée,
Mon désir, ma Cythérée,
Baise-moi mignonnement,
Serrément,
Jusques à tant que je die :
Las ! je n’en puis plus, ma vie,
Las ! mon Dieu, je n’en puis plus !
Lors ta bouchelette retire,
Afin que mort je soupire,
Puis me donne le surplus.
Ainsi, ma douce guerrière,
Mon cœur, mon tout, ma lumière,
Vivons ensemble, vivons,
...
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