
Sur le chemin des étoiles de mer
A Federico Garcia Lorca
quel vent souffle sur la solitude du monde
pour que je me rappelle les êtres chers
frêles désolations aspirées par la mort
au-delà des lourdes chasses du temps
l'orage se délectait à sa fin plus proche
que le sable n'arrondissait déjà sa hanche dure
mais sur les montagnes des poches de feu
vidaient a coups sûrs leur lumière de proie
blême et courte tel un ami qui s'éteint
dont personne ne peut plus dire le contour en paroles
et nul...
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