
(…)
« Il n’y pas de nuages sans elle, Etoile de la dernière heure,
fourche des jambes embuées de lave et de douceur, dernier
horizon aperçu par le sommeil, dévalant à grand bruit, et sous
le silence des orages qui ne finissent pas, la pente de ses cheveux
couleurs de nuit.
Il n’y pas de marais sans brumes, mais il n’y a pas non plus
ce grand sourire hautain tournant comme un feu sans l’indéchiffrable
odeur qui tremble au milieu d’une chambre promise aux...
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