
(…)
Au clair de la lune, près de la mer, dans les endroits isolés
de la campagne, l'on voit, plongé dans d'amères réflexions,
toutes les choses revêtir des formes jaunes, indécises, fantastiques.
L'ombre des arbres, tantôt vite, tantôt lentement, court, vient,
revient, par diverses formes, en s'aplatissant, en se collant contre la terre.
Dans le temps, lorsque j'étais emporté sur les ailes de la jeunesse, cela
me faisait rêver, me paraissait étrange; maintenant, j'y suis habitué....
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