
Breizh
à Jean –Marie Le Sidaner
… Vagues ténébrantes et blanches qui remontent les veines,
recomposent sans cesse une immense légende où le temps se
chiffre et se déchiffre : c’est cette métaphore infiniment reprise
qui défait l’assurance d’une langue en miroir, qui étoile du sujet
le visage pour le moduler dans une polyphonie où son identité se
poudroie : pas de vague qui ne soit la même ni une autre. Pas de
langage qui se (se) joue de cette différence qui la fonde.
Et...
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