
Théâtre
I
Je te voyais courir sur des terrasses,
Je te voyais lutter contre le vent,
Le froid saignait sur tes lèvres.
Et je t’ai vue te rompre et jouir d’être morte ô plus belle
Que la foudre, quand elle tache les vitres blanches de ton
sang.
II
L’été vieillissant te gerçait d’un plaisir monotone, nous
méprisions l’ivresse imparfaite de vivre,
« Plutôt le lierre, disais-tu, l’attachement du lierre aux pierres
de sa nuit :...
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