
A Ya Ts’ing
Ma demeure est près de la mer,
Votre pavillon est près de la rivière.
Les larmes que je vous destine
Y remontent avec la marée.
Traduit du chinois par Patricia Guillermaz
In « La poésie chinoise des origine à la révolution »
Editions Gérard et C° (Marabout Université), Verviers (Belgique), 1966