
Au bout de chaque jour, une terrasse de silence, et le verre d’une eau
semblable à la musique, cette source et ce crépuscule, soirée de pierres
fraîches, et les mots comme du bon pain, circulant dans la voix des arbres.
L’herbe du feu dans le fond du ciel ouvre un asile aux regards pensifs.
Il peut arriver aussi qu’au travers de frais éboulis apparaisse en lumière
vive cette trace de ce qui fut un instant la forme de la vie et, plus loin, autre
forme, plus simple,...
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