
Comme un qui s’est perdu dans la forêt profonde
Loin de chemin, d’orée et d’adresse, et de gens ;
Comme un qui en la mer grosse d’horribles vents
Se voit presque engloutir des grands vagues de l’onde,
Comme un qui erre aux champs, lorsque la nuit au monde
Ravit toute clarté, j’avais perdu longtemps
Voie, route et lumière, et presque avec le sens,
Perdu longtemps l’objet, où plus mon heur se fonde.
Mais quand on voit, - ayant ces maux fini leur tour -
Aux bois, en mer, aux champs, le bout, le port,...
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