
Il y eut une créature que mon esprit souvent
Rencontrait dans ses errances visionnaires, bien loin, là-haut
Dans le clair printemps doré de mon aurore adolescente,
Sur les îles féeriques de pelouse au soleil,
Parmi les montagnes enchantées et les antres
De sommeil divin, et sur les vagues semblables à l’air
Du rêve au niveau de merveille, dont la tremblante surface
Supportait ses pas légers ; - sur un rivage imaginé,
Sous le bec gris de quelque promontoire,
Elle me rencontrait, enrobée de si excessive gloire
Que je ne...
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