
J’ai une bulle d’air. Je la sens très bien. Quand je suis triste, elle se fait plus
lourde et parfois, quand je pleure, on dirait une goutte de mercure.
La bulle d’air se promène de mon cerveau à mon cœur et de mon cœur à
mon cerveau.
***
« Mon enfant, mon enfant. »
Enfin, elle alluma une lampe minuscule et je pus voir son visage mais non
son corps plongé dans l’obscurité.
...
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