
Le printemps est si court à quoi bon parler de la vie éternelle ?
Murmurais-je en lui tendant mes seins
Traduit du japonais par Yves – Marie Allioux
In « Poèmes de tous les jours. Anthologie proposée et commentée par Ôoka Makoto ».
Picquier, 1993
De la même autrice : « sur ma peau douce et chaude… » (20/09/2016)